samedi 31 juillet 2010

Le trou des Nutons d'Annevoie

Contre- jour des entrées 3 et 4

Après une courte désob sondage dans la région de Godinne (a suivre), direction Annevoie non pas pour une visite des superbes jardins à la française mais pour la visite d’une grotte inconnue du monde spéléo, mais apparemment pas des archéologues, pourtant elle n’est pas des plus petites, cinq entrées, peut être six, dont une par un puits de cinq mètres qui s’ouvre au ras du sol dans un bois, galerie assez large et sèche pour un développement de plus de 60 mètres.

Galerie large





Galerie en sur- creusement

Puits de cinq mètres (entrée 5)


lundi 26 juillet 2010

La résurgence de Tahaux


Samedi, pendant qu’une partie du groupe continue la désob au trou B.. qu’une autre ce prélasse dans les grottes du sud de la France en mangeant du nougat, une autre, la plus motivée, avec les plus beaux, les plus forts, les plus humbles, hem je n’égare un peu là. Je disais donc samedi sous la conduite de Michel Pichel, un des découvreurs de la grotte, une équipe composée en plus de Michel de Marc, Fred et pour une partie de Jean-Be, c’est retrouvée dans la résurgence de Tahaux à Hastière pour une première visite et pour avoir une idée sur l’ampleurs des travaux fait par nos collègues du SCAIP et sur la possibilité de continué ces travaux ensemble. Première constatation, le travail fait par nos collègues est digne des galères, du pétage de blocs couché dans des étroitures remplies d’eau ben fallait en avoir dans la néoprène, pour la suite si nous avons assez de gens motivés, ce ne sera pas facile, mais why not. Les photos sont de Marc Damilot, Fredéric Meert et Michel Pichel

Dans cette grotte il y a des haut

et des bas. C'est profond? non! jusque blub la blub moustache.


vivement le grand bleu

et Fred

même dans ces conditions

il est contant

et oui, c'est par là

Michel Pichel, notre guide

belle image de la sortie.











dimanche 25 juillet 2010

En attendant un article plus complet

Résurgence de Tahaux
Quel plaisir de pouvoir ce rafraîchir dans une eau à 10° en ayant une pensée pour Désobeur qui doit avoir bien chaud tout la haut dans le sud.

dimanche 18 juillet 2010

PETITE DESOB INTER-CLUBS.


Joël à l'entrée du trou de l'Homme


Ce samedi 17 juillet, des membres du club la Corde de Dinant ont continué une désob qui avait été initiée par le SCAIP et ce en présence de plusieurs membres de ce sympathique club de la région des terrils.
Tout d'abord, nous nous sommes rendus à Frumont pour constater que ce qui avait été désobé la dernière fois était de nouveau rempli de cailloux, de terre et même une partie du matos (corde, tapis pour faciliter la sorti des seaux, etc...) et ce à cause des orages et principalement celui du 14 juillet.
La désob en cas d'orages violents est à proscrire car trop dangereuse.
Ensuite direction le trou de l'Homme et son cadre magnifique.
2 désobs ont été continuées, d'une part dans un dièdre avec des grosses pierres et de la boue et d'autre part l'élargissement d'une grosse fissure d'où sort un courant d'air froid.
Le départ a été élargi et la prochaîne fois, Michel viendra avec une mini-caméra sur une perche téléscopique afin de voir si cela vaut la peine d'élargir toute la fissure.
Ensuite nous sommes tous repassés voir et travailler sur un chantier en cours dont l'endroit est tenu secret mais dans quelques temps nous pourrons vous en dire un peu plus.
Etaient présents pour le SCAIP: Jean-Pierre, François, Michel, Manon et son papy.
Pour le club la Corde: Fred, Joël, J-B, Bibiche et J-C.

L'ambiance était fort bonne.
Vivement la prochaîne désob ou la prochaîne visite de grotte.

J-C







Un peu comme des ouvriers communaux, un qui travaille et les autres ...



Un puits de 14 mètres entièrement vidé par nos amis du SCAIP, superbe boulot.

lundi 12 juillet 2010

Une belle saloperie : La berce du Caucase


Lors de nos prospections le long des cours d'eaux il n'est pas rare que nous croisions cette plante sans y prêter attention, erreur.

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A l'état adulte, elle est géante et mesure de 1,5 à 4 mètres de hauteur. Ses feuilles sont profondément découpées et peuvent mesurer environ 50 cm à 1 m de diamètre. Sa tige est robuste, creuse et cannelée. En floraison (juillet – septembre), ses ombelles blanches ont un diamètre variant entre 20 et 50 cm.
ATTENTION à ne pas la confondre avec une autre espèce très courante de Berce qui est indigène : la berce commune. Elle se distingue par moins de 35 rayons à l’ombelle contre plus de 50 pour la Berce du Caucase.

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Toxicité, dangers pour la santé
Cette plante produit une toxine phototoxique appelée furanocoumarine (phototoxique signifie qu'elle réagit si on l'expose à la lumière). Cette toxine, présente dans la sève, provoque des inflammations et des brûlures de la peau. Si l'on n'expose pas à la lumière la zone infectée pendant plusieurs jours, la réaction ne se déclenche pas. La sève est incolore et inodore, et les cloques provoquées peuvent atteindre la taille d'une pomme de terre. Les séquelles de la phototoxicité de la sève de la berce du Caucase n'apparaissent qu'après plusieurs heures et peuvent persister durant des années.
En cas de contact de la peau avec de la sève, il faut éliminer la sève le plus rapidement possible, en prenant soin de ne pas étendre la surface de la zone touchée: enlever la sève de la peau avec un papier absorbant sans frotter, puis laver au savon, et rincer abondamment à l'eau l'endroit atteint. Ensuite, il faut éviter l'exposition de la zone touchée à la lumière durant plus de 48 h, le temps de la disparition de l'effet photosensibilisateur. Si les yeux sont atteints, les rincer abondamment à l'eau claire puis porter des lunettes de soleil pour réduire leur exposition à la lumière et penser à consulter un médecin. En cas de contact important, ou si un enfant est atteint, consulter sans tarder un médecin ou le centre anti-poison pour tout conseil approprié.
L'éradication de la berce du Caucase nécessite le port d'un équipement approprié permettant d'éviter tout contact de la peau, des mains et des yeux avec sa sève (salopette imperméable à la sève, gants en plastique à manches longues, lunettes de sécurité contre les projections de sève dans les yeux).