mercredi 30 mai 2012

ANDENNE: DECOUVERTE D'UN OURS DE 118000 ANS A LA GROTTE SCLADINA




ANDENNE - Découverte archéologique rare et passionnante à la grotte Scladina : une patte d’ours dans la couche la plus ancienne de fouilles.

Les scientifiques ne vont pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir exhumé. En l’occurrence, il ne s’agit pas d’une peau, mais de plusieurs os d’une patte d’ours qui viennent d’être découverts il y a à peine quinze jours à la grotte Scladina.
Pour le seul site préhistorique belge fouillé en continuité depuis les années 80, c’est un événement.
Dominique Bonjean, directeur du centre archéologique de la grotte, confesse que cela met l’équipe sur des charbons ardents, mais tempère : « C’est une véritable enquête policière qui commence pour nous, mais il est trop tôt pour se lancer dans des annonces spectaculaires. »
Sans fouler au pied la rigueur scientifique, on peut cependant déjà parler d’une trouvaille rare et passionnante. Explications.

1) Pour la première fois d’un même ours

Découvrir des os d’ours des cavernes à Scladina, cela n’a rien d’exceptionnel. Sur les quelque 5 millions d’os qu’on a sorti des entrailles de la grotte, 90 % venaient d’ours. Ils appartenaient à au moins 2000 spécimens différents venus sans doute hiberner là.

Dans la plupart des cas, les os sont retrouvés épars. « Mais ici, explique l’archéologue, il s’agit de plusieurs pièces encore en connexion anatomique, c’est-à-dire qu’on sait qu’il s’agit d’un même animal. Ce qui est très rare et très intéressant. »
Pour l’instant, un calcaneum, un astragale et un métapode ont été dégagés. Dans le carré de fouilles, d’autres morceaux de cette patte arrière gauche se devinent et, dans celui d’à-côté, un fémur et un crâne.
L’équipe de Scladina a donc de bons espoirs de retrouver d’autres parties de la même bête. Dans quelle quantité ? Dominique Bonjean rêve, bien sûr, d’en avoir un maximum, mais reste prudent : « Nous allons devoir y aller très doucement, car la couche de terre où se trouvent les pièces est une mine de renseignements en soi. Elle est aussi précieuse pour nous que les os eux-mêmes. On va donc l’étudier minutieusement. »
Pas question de creuser à la pelle frénétiquement dans l’espoir d’arracher vite fait un squelette. Un travail géologique de plusieurs mois, voire plusieurs années, commence.

2) Dans la couche la plus ancienne

Pour le paléontologue, disposer d’une patte, voire plus, de la même bête, est une aubaine. Son analyse peut apporter des informations clés sur l’espèce : « Quand on a une caisse remplie d’os mais qu’on ne sait pas s’ils appartiennent à 1 ou 10 ou 100 individus, on ne peut pas tirer les mêmes conclusions. »

De plus, ici, la patte en question pourrait être celle d’une espèce antérieure à l’ours des caverne. Elle se trouve en effet dans couche baptisée « 7B » de Scladina, c’est-à-dire la plus ancienne, à même le fond de la grotte. Elle date d’environ 118 000 ans. Mais elle pourrait aussi être antérieure à cette estimation et appartenir à un « ours de Deninger », une espèce moins bien connue car peu documentée en Europe. La découverte de Sclayn serait dans ce cas plus passionnante encore. On peut en tout cas dire qu’on est en présence du plus vieux des ours connus à Andenne à ce jour. C’est une patte de lapin qu’il a fallu pour la trouver 

Samuel SINTE







dimanche 27 mai 2012

DESOB AUX BOUES DU MONDE



Ce samedi j’avais prévu de suivre la journée découverte « fantôme de roches » organisée par Spéléo-J avec l’excellent professeur Yves Quinif mais, hélas, un problème technique en a décidé autrement et c’est ainsi que je me suis retrouvé dans la doline voisine de l’entrée du trou Bernard pour donner un coup de main à la bande de fous de la désob que sont Bibiche, JC alias désobeur, Rudi et Ton.







lundi 21 mai 2012

TROU SUANE

Non non! Casteret n'était pas avec nous, c'est juste Marc qui à eu un brin de nostalgie
Visite du trou Suane situé dans la vallée de la Meuse, belle petite grotte très rarement visitée, il est vrai que l’entrée minuscule est très difficile à repéré. Dans cette grotte existe plusieurs étages et c'est vers les inférieurs, encore une découverte de notre ami Bibiche accompagné de Joël au début des années 1990, que se trouve le but de la sortie : préparation d’un nouveau chantier.

Préparatifs

L'entrée n'est pas bien grande

Eclairage d'un autre temps...qui pue ...

... mais qui donne de beaux jeux de lumière

Jean-Be

Marc alias le Yéti


Eric dans la remontée du premier puits

Lame de corrosion


dimanche 13 mai 2012

L'HAQUIN COMME CADEAU

J’avais été contacté par  Doninic il y à quelques semaines pour organiser une surprise pour l’anniversaire de Nele,  sa copine, et c’est vers le trou d’Haquin que mon choix c’est porté.
C’est donc vers 11h00 que le couple me rejoint sur le parking de la grotte, présentation, distribution du matos et direction la doline de l’Haquin.
C’est dans une grotte saturée de spéléos que nous entrons et malgré le nombre de personnes c’est sans problème que nous arrivons à la sentinelle, là petit arrêt pour laisser  traverser une dizaine de jeunes et nous continuons la visite par le passage Bibiche, le pont de calcite, la salle de minuit et remontée par le paradis et retour vers la surface.

Ce fut une très chouette journée et Nele semble avoir aimé son « cadeau » car elle en demande encore.










jeudi 10 mai 2012

LES PETITES BÉBÊTES DE NOTRE KARST - LA VIPÈRE

Lors de prospections certains d’entre nous ont eu la chance ou pour d’autre la peur de rencontrer une vipère, qui sont ces animaux qui en ont fais courir plus d’un...
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La Vipère péliade est le seul serpent venimeux de notre faune. Très rare, elle n'existe que dans l'extrême sud-ouest de la Wallonie, de part et d'autre de la pointe de Givet. Les populations y sont relictuelles et possèdent une valeur patrimoniale très élevée. Ce petit serpent subit un déclin très important, il est actuellement menacé d'extinction et fait l'objet d'un plan d'action.

Caractéristiques de la vipère péliade
Si les couleurs et les dessins de sa robe varient selon l'habitat qu'elle occupe et la saison, on reconnaît aisément la vipère péliade à son corps trapu et à sa tête peu large pour une vipère sur laquelle on distingue trois écailles beaucoup plus grandes que les autres.
Par ailleurs, son museau carré et non retroussé la distingue nettement de sa proche parente, la vipère aspic.
Longueur 60 à 75 cm en moyenne, mais peut atteindre 85 cm. Les femelles sont bien plus grosses que les mâles.
Armes redoutables, les crochets de la vipère péliade sont situés à l'extrémité de sa mâchoire supérieure. Son venin paralyse presque instantanément la proie et provoque une mort rapide. Cette vipère chasse généralement tôt le matin et au coucher du soleil. Durant les fortes chaleurs, elle devient essentiellement nocturne Capturées au sol ou dans les terriers, les souris constituent la base de son alimentation. Mais elle consomme également de jeunes oiseaux, des lézards et des grenouilles.
Elle tue ses proies avec son venin. Après la morsure, elle attend jusqu'à ce que l'animal soit mort, puis elle l'ingère tout entier par la tête. Au cours de la digestion, elle se déplace très difficilement.
L'espèce a besoin de biotopes à forte différence de température entre le jour et la nuit, et à forte humidité. On la rencontre donc surtout dans les marais, les tourbières et les marécages; également à la limite des forêts en montagne.
Cette vipère est diurne, mais active seulement au crépuscule pendant les grosses chaleurs. Elle se chauffe au soleil au petit matin et tard dans l'après-midi; elle a une activité optimum à la température de 30 à 33°C. Elle est particulièrement vive pendant les jours chauds et lourds, et après de longues pluies. Elle nage bien.
Hibernation et reproduction
La vipère péliade hiberne d'octobre à mars ou avril, dans un terrier abandonné, seule ou en compagnie de plusieurs congénères. Elle sort d'hibernation très tôt dans l'année dans de nombreuses régions.
Elle peut hiberner jusqu’à 8 mois au cercle polaire. Elle hiberne souvent par colonies nombreuses.
Puis vient la saison des amours. 
La femelle est ovovivipare. L’accouplement s’effectue après une longue parade nuptiale. Les mâles se livrent fréquemment des combats fictifs.  De 5 à 15 petits (rarement jusqu'à 20) viennent au jour au début d'octobre, dans une enveloppe mucilagineuse translucide, d'où ils sortent immédiatement.
Ecologie:
L'espèce fréquente des milieux très variés, secs, frais ou humides, qui sont peu fréquentés par l'homme et dont la végétation ne se développe que lentement : prairies en déprise agricole et friches diverses, landes à bruyères et genêts, abords de voies ferrées, lisières forestières, bordure de fourrés...
Cycle de vie: Espèce vivipare, active de février à octobre. Accouplements en avril-mai. Mises-bas en août-septembre. Maturité sexuelle atteinte à 3-4 ans. Longévité voisine de 15 ans, rarement 20 ans.
Seul serpent venimeux présent en Wallonie, la Vipère péliade ne mord que très rarement et uniquement pour se défendre, par exemple lorsqu'on la piétine ou que l'on tente de l'attraper (ce qui est d'ailleurs interdit !). Les jeunes consomment surtout des lézards, les adultes se nourrissent principalement de petits rongeurs.
Vipera berus subit un déclin très fort en Wallonie et dans les régions voisines, notamment suite à la fermeture générale des milieux forestiers, à l'intensification des pratiques agricoles et aux densités trop élevées de sangliers actuellement rencontrées sur le territoire. Elle a fortement régressé au cours des 150 dernières années suite au reboisement (généralement enrésinement) des landes, des pelouses sèches et des friches.



  • Décret 6/12/2001 : Annexe 2b
  • 1° de capturer et de mettre à mort intentionnellement de spécimens de ces espèces dans la nature ;
  • 2° de perturber intentionnellement ces espèces, notamment durant la période de reproduction, de dépendance, d'hibernation et de migration ;
  • 3° de détruire ou de ramasser intentionnellement dans la nature ou de détenir des oeufs de ces espèces ;
  • 4° de détériorer ou de détruire les sites de reproduction, les aires de repos ou tout habitat naturel où vivent ces espèces à un des stades de leur cycle biologique ;
  • 5° de naturaliser, de collectionner ou de vendre les spécimens qui seraient trouvés blessés, malades ou morts ;
  • 6° de détenir, transporter, échanger, vendre ou acheter, offrir aux fins de vente ou d'échange, céder à titre gratuit les spécimens de ces espèces prélevés dans la nature, y compris les animaux naturalisés, à l'exception de ceux qui auraient été prélevés légalement avant la date d'entrée en vigueur de la présente disposition ainsi qu'à l'exception de celles de ces opérations qui sont constitutives d'une importation, d'une exportation ou d'un transit d'espèces animales non indigènes et de leurs dépouilles ;
  • 7° d'exposer dans des lieux publics les spécimens.
Voir aussi les modalités de déclaration de la capture accidentelle ou de la mise à mort accidentelle de spécimens d'une des espèces strictement protégées (Article 2 quater) et les modalités de déplacement à brève distance d'espèces, nids ou œufs menacés d'un danger vital immédiat ou vers un centre de revalidation
La femelle est amaigrie et ridée après la mise bas.
Régime alimentaire

La vipère péliade se nourrit principalement de micromammifères comme des souris, des campagnols et des musaraignes, ainsi que des lézards. Elle peut également parfois se nourrir d'orvets ou encore de belettes, de taupes et d'amphibiens (grenouilles, tritons et salamandres. Des oiseaux peuvent également rentrer dans son menu5, notamment des oisillons et même des œufs dont l'attrait peut faire grimper la vipère dans des arbustes et buissons.
Généralement, la composition des repas varie selon la localisation, les serpenteaux chassent, dès après la première mue.  Les juvéniles ont tendance à manger de jeunes mammifères, des petits lézards, des grenouilles ainsi que des vers et des araignées. Ils commencent à manger la même chose que les adultes lorsqu'ils atteignent une taille d'environ 30 cm.

Comment différencier une couleuvre d’une vipère ?
Tout d’abord on pourrait parler de la taille du serpent. Une couleuvre adulte fait plus de 70 cm de long alors qu’une vipère ne dépasse que rarement les 75 cm.
A l’exception de Natrix maura (Couleuvre vipérine), les couleuvres ont une tête plus arrondie alors que les vipères ont une tête plus ou moins triangulaire et aplatie. Une autre différence est le type d’écailles que possèdent les serpents sur la tête. Les couleuvres ont de grandes écailles leur donnant un aspect "cuirassé", tandis que les vipères présentent une multitude de petites écailles (certaines vipères peuvent toutefois avoir quelques écailles un peu plus grosses au sommet de la tête).
Plus précisément, les couleuvres ont 9 grandes plaques céphaliques alors que les vipères en ont moins de 9. Au niveau de l’écaillure, on peut dire que la couleuvre a une seule rangée d’écailles entre l’oeil et la lèvre supérieure alors que la vipère en a 2 voire 3 selon les espèces.
Le critère le plus sûr reste cependant la forme de la pupille de l’oeil. Chez les vipères la pupille de l’œil a la forme d’une fente verticale alors que chez les couleuvres la pupille est ronde.
En général le corps de la vipère est trapu, contrairement à celui de la couleuvre, plus effilé et plus mince. On note aussi la présence d’une queue pointue et bien visible chez la vipère qui peut être aussi un critère important car la couleuvre n’a pas de queue bien distincte.
Concernant le comportement, les couleuvres sont généralement plus agressives que les vipères qui sont d’avantages peureuses.
La vipère péliade mesure en moyenne 50 cm à 70 cm de longueur pour un poids variant de 60g à 1kg pour les plus gros spécimens.


Danger pour l’homme
La morsure de la vipère péliade peut être dangereuse pour l'homme. Toutefois, on connaît peu de cas mortels. Elle ne devient agressive que dans la mesure où elle se sent menacée ou lorsqu'un pied maladroit vient à la heurter ; elle se montre alors très prompte à réagir.
Le venin est principalement hémolytique et cytotoxique. L'homme est rarement mordu mais il convient toujours d'effectuer une injection de sérum antivenimeux.
Généralement sédentaire et craintive, en cas de danger, sa première réaction est la fuite dans la végétation ou sous les pierres; c'est seulement quand elle est acculée qu'elle siffle et jette la partie antérieure de son corps en avant, pour mordre.
Les populations de cette espèce ont énormément régressé et sont donc expressément protégées en de nombreux pays européens (comme la Suisse, l'Autriche et l'Allemagne). Que faire et ne pas faire en cas de morsure de vipère ?



En cas de morsure
Avant tout restez calme. Vous avez le temps de faire hospitaliser la victime. Beaucoup de morsures de vipère n’entraînent que des symptômes locaux et une envenimation se produit dans moins de 50 % des cas.
Les premiers gestes sur place
-  désinfecter la plaie (laver à l’eau et au savon puis utiliser un désinfectant)
-  ôter les bagues, les montres et tout ce qui peut serrer
-  couvrir le membre mordu d’une bande Velpeau (bandage pas trop serré, depuis la racine vers l’extrémité du membre)
-  immobiliser le membre atteint, mettre la victime au repos en position latérale de sécurité au calme
-  organiser le transport vers un hôpital
A ne pas faire !
Sucer la morsure, la brûler, l’inciser ou mettre un garrot agrave les lésions.
L’utilisation d’un Aspivenin® (petite pompe d’aspiration) n’a pas démontré son efficacité.


A l’hôpital
Le traitement sera d’abord symptomatique : antidouleur (pas d’aspirine !), vaccin et/ou immunoglobuline anti tétaniques, antibiotiques, observation d’une durée minimale de 6 heures.
Un anti venin spécifique sera administré si des signes d’envenimation se présentent (œdème important, vomissement, douleur abdominale, diarrhée, hypotension).
Les morsures de vipère en Belgique
La vipère péliade (Vipera berus) est le seul serpent venimeux vivant en Belgique. Elle est souvent confondue avec les deux autres espèces indigènes non venimeuses : la couleuvre à collier (Natrix natrix) et la couleuvre coronelle (Coronella austriaca).

Les cas de morsure de vipère sont peu nombreux dans notre pays. En effet, la vipère péliade ne se trouve que dans le bassin de la haute Meuse et en Campine anversoise. De plus, l’animal craintif fuit la présence humaine.
Aucun décès n’a été signalé en Belgique depuis plusieurs années. Législation régionale (Conservation de la Nature) :
Cette espèce est mentionnée dans l'Annexe 2b du décret du 6 décembre 2001 modifiant la Loi de la Conservation de la Nature qui indique (Article 2) que cette espèce est intégralement protégée (espèces menacées en Wallonie). Cette protection implique l'interdiction :
Les interdictions visées aux points 1°, 2°, 5°, 6° et 7° de l'alinéa précédent s'appliquent à tous les stades de la vie des espèces animales visées par le présent article, y compris les oeufs, nids ou parties de ceux-ci ou des spécimens.






vendredi 4 mai 2012

Convocation AG CWEPSS 2011

gayolle
Abris de la Gayolle


Le samedi 12 mai 2012, à partir de 10h30 à Yvoir - Salle du Maka (1er étage derrière le Hall Sportif).
L'ordre du jour de l'assemblée est le suivant:
  • Appel des présents et représentés.
  • Lecture et approbation du P.V. de l'Assemblée Générale 2010 (mai 2011 à Beez).
  • Rapport et bilan des activités en 2011 par le président
  • Rapport financier par le trésorier pour l'exercice 2011
  • Approbation des comptes et du bilan des activités 2011
  • Campagnes et projets 2012-2013 et proposition de budget pour les 12 mois à venir
  • Appel des candidatures et élection des administrateurs. Le mandat d'administrateur à la CWEPSS est de 3 ans les administrateurs suivants sont sortants et rééligibles: Thys G., Bartholeyns, JP., De Broyer, Cl., Leigeois, JP., Maréchal, F.

Les candidatures d'administrateurs sont à adresser au secrétariat de la CWEPSS - avenue G. Gilbert 20 à 1050 Bruxelles ou par Email: contact@cwepss.org
Claude DE BROYER Georges THYS
Après l'AG, nous organisons comme de coutume à partir de 14h00, une excursion karstique dans la vallée du Bocq. Cette visite de terrain accessible à tous
Elle est relativement sportive et nécessite en tous les cas de bonnes chaussures de marche. La boucle de 6 km démarre de la Ferme de Tricointe, avec son vaste chantoir, son vallon sec et de belles dolines. Nous suivrons le fil des eaux souterraines suivant un itinéraire boisé et... karstique pour remonter sur l'autre rive du Bocq à la découverte des abris rocheux de la Gayolle et de la surprenante galerie d'adduction d'eau de Vivaqua.

Article vu sur le site de la CWEPSS http://www.cwepss.org