Lors de vos explorations souterraines ne vous êtes vous jamais posez la question : ces roches qui nous entourent, d’où viennent-elles ? Réponse ; de loin, de très loin même, explication :
Les plus anciennes roches connues en Belgique se sont déposées dans une mer vieille de plus de 500 millions d’années durant la période dite Cambrienne. A cette époque, les terrains qui allaient constituer la Belgique se trouvaient à 60° sud et faisaient partie d’une petite plaque tectonique appelée Avalonia. Ils étaient en bordure d’un immense continent, le Gondwana, qui se trouvait coincé au pôle sud. Ce continent rassemblait l’Afrique, l’Amérique du sud, l'antarctique et une grande partie de l’Asie.
Ensuite, Avalonia se détache de Gondwana et entame un long périple vers le nord qui l’amènera à sa position actuelle, soit 45° nord. Mine de rien ça fait un parcours de plus de 20000 kilomètres ! Et encore, ne peut-on estimer que les déplacements latitudinaux et pas les longitudinaux.
Ces déplacements sont liés à la création et à la disparition d’océans, ( et donc de plaques tectoniques océaniques ), à la rencontre avec d’autres plaques tectoniques continentales, (portant des terres émergées et des plates-formes maritimes). Ensuite, Avalonia est intégrée à la Pangée, super continent unique qui domine la géographie de l’Ere Permienne et Triasique (250 millions d’années). L’ouverture de l’océan atlantique ramène des terrains maritimes chez nous, d’abord en Lorraine et en Gaume (au Jurassique de –200 à –150 millions d’années), puis c’est le tour de la Flandre et du nord de la Wallonie (au Crétacé et pendant le Tertiaire de –150 à 10 millions d’années).
Durant ses pérégrinations, Avalonia connut deux grands cycles tectoniques : Le cycle Calédonien, il y a 400 millions d’années, lors de sa rencontre avec Baltica (la plaque tectonique portant l’Allemagne, la Pologne et les pays scandinaves) et le cycle Varisque, il y a 300 millions d’années, lors de sa rencontre avec Laurentia (Amérique du nord et Groenland). Ces accidents tectoniques générèrent également leur lot de phénomènes géologiques époustouflants : Création et érosion de montagnes, émersion et immersion de terre, création de nouveau bassin de sédimentation où les fleuves déchargèrent le produit de l’érosion (Argiles, sables et graviers), où des récifs et des prairies maritimes fleurirent puis périclitèrent, modifications de la géométrie de ces bassins, plissements et failles dans la roche… Ces accidents expliquent la relative complexité de la géologie de la Belgique et les grandes différences qui s’observent entre les différents bassins qui émaillent son histoire et sa géographie.
Mais ces deux cycles furent aussi « responsable » de quelques fleurons du sous-sol belge, par exemple l’Orogenèse Calédonienne donna naissance à un volcanisme dont les traces les plus connues sont les porphyres de Quenast et Lessines et le coti cule qui provient de l’altération d’un dépôt de poussières volcaniques dans des schistes riches en fer et manganèse. La pression qui s’exerça alors sur les argiles les plus fines de l’Ardenne donna naissance aux Phyllades dont on extrayait les ardoises. Quant à l’orogenèse Varisque, elle provoqua l’émergence de terre au Carbonifère supérieur (-300 millions d’années) qui conduisit à l’apparition d’un faciès de mangrove dont l’enfouissement et la maturation donna naissance au charbon.
Un tel voyage du pôle sud vers le pôle nord, explique également que pendant près de 250 millions d’années, ce qui deviendra notre pays a connu des climats tropicaux ou équoitoriaux, tantôt secs, tantôt humides. Ceux-ci permirent le développement, sur les plates-formes Dévoniennes et Carbonifères (-390 à –10 millions d’années), de récifs dont notre sous-sol s’enorgueillit (petit granit, marbre rouge, gris ou noir etc.) et surtout pour nous spéléologues, nos beaux calcaires. Hélas, ce régime de faveur se termina il y a un peu moins de 100 millions d’années et depuis on a connu les glaciations du Quaternaire et le climat a la belge…
Les plus anciennes roches connues en Belgique se sont déposées dans une mer vieille de plus de 500 millions d’années durant la période dite Cambrienne. A cette époque, les terrains qui allaient constituer la Belgique se trouvaient à 60° sud et faisaient partie d’une petite plaque tectonique appelée Avalonia. Ils étaient en bordure d’un immense continent, le Gondwana, qui se trouvait coincé au pôle sud. Ce continent rassemblait l’Afrique, l’Amérique du sud, l'antarctique et une grande partie de l’Asie.
Ensuite, Avalonia se détache de Gondwana et entame un long périple vers le nord qui l’amènera à sa position actuelle, soit 45° nord. Mine de rien ça fait un parcours de plus de 20000 kilomètres ! Et encore, ne peut-on estimer que les déplacements latitudinaux et pas les longitudinaux.
Ces déplacements sont liés à la création et à la disparition d’océans, ( et donc de plaques tectoniques océaniques ), à la rencontre avec d’autres plaques tectoniques continentales, (portant des terres émergées et des plates-formes maritimes). Ensuite, Avalonia est intégrée à la Pangée, super continent unique qui domine la géographie de l’Ere Permienne et Triasique (250 millions d’années). L’ouverture de l’océan atlantique ramène des terrains maritimes chez nous, d’abord en Lorraine et en Gaume (au Jurassique de –200 à –150 millions d’années), puis c’est le tour de la Flandre et du nord de la Wallonie (au Crétacé et pendant le Tertiaire de –150 à 10 millions d’années).
Durant ses pérégrinations, Avalonia connut deux grands cycles tectoniques : Le cycle Calédonien, il y a 400 millions d’années, lors de sa rencontre avec Baltica (la plaque tectonique portant l’Allemagne, la Pologne et les pays scandinaves) et le cycle Varisque, il y a 300 millions d’années, lors de sa rencontre avec Laurentia (Amérique du nord et Groenland). Ces accidents tectoniques générèrent également leur lot de phénomènes géologiques époustouflants : Création et érosion de montagnes, émersion et immersion de terre, création de nouveau bassin de sédimentation où les fleuves déchargèrent le produit de l’érosion (Argiles, sables et graviers), où des récifs et des prairies maritimes fleurirent puis périclitèrent, modifications de la géométrie de ces bassins, plissements et failles dans la roche… Ces accidents expliquent la relative complexité de la géologie de la Belgique et les grandes différences qui s’observent entre les différents bassins qui émaillent son histoire et sa géographie.
Mais ces deux cycles furent aussi « responsable » de quelques fleurons du sous-sol belge, par exemple l’Orogenèse Calédonienne donna naissance à un volcanisme dont les traces les plus connues sont les porphyres de Quenast et Lessines et le coti cule qui provient de l’altération d’un dépôt de poussières volcaniques dans des schistes riches en fer et manganèse. La pression qui s’exerça alors sur les argiles les plus fines de l’Ardenne donna naissance aux Phyllades dont on extrayait les ardoises. Quant à l’orogenèse Varisque, elle provoqua l’émergence de terre au Carbonifère supérieur (-300 millions d’années) qui conduisit à l’apparition d’un faciès de mangrove dont l’enfouissement et la maturation donna naissance au charbon.
Un tel voyage du pôle sud vers le pôle nord, explique également que pendant près de 250 millions d’années, ce qui deviendra notre pays a connu des climats tropicaux ou équoitoriaux, tantôt secs, tantôt humides. Ceux-ci permirent le développement, sur les plates-formes Dévoniennes et Carbonifères (-390 à –10 millions d’années), de récifs dont notre sous-sol s’enorgueillit (petit granit, marbre rouge, gris ou noir etc.) et surtout pour nous spéléologues, nos beaux calcaires. Hélas, ce régime de faveur se termina il y a un peu moins de 100 millions d’années et depuis on a connu les glaciations du Quaternaire et le climat a la belge…
VAN OF KOMEN ONZE ROTSEN?
Bij uw ondergrondse verkenningen bent u u nooit stelt de vraag: deze rotsen die ons omgeven, vandaar komen zij? Antwoord; verreweg van zeer ver zelfs, de verklaring:De oudste bekende rotsen hebben in België zich in een oude zee van meer dan 500 miljoenen jaren tijdens de zogenaamde periode Cambrienne neergezet. A cette époque bevonden de terreinen zich die België gingen vormen in 60° zuidelijk en maakten deel van een kleine genoemde tectonische plaat Avalonia uit. Zij waren in rand van een enorm werelddeel, Gondwana, dat klem gezet aan de zuidelijke pool was. Dit werelddeel verzamelde Afrika, Zuid-Amerika, de Zuidpool en een groot deel van Azië.Vervolgens maakt Avalonia zich van Gondwana los en begint met een lange rondreis naar het noorden dat het naar zijn huidige positie zal brengen, is noordelijke 45°. Mijn van niets doet dat een traject van meer dan 20000 kilometers! En nog, kan men slechts de verplaatsingen en niet overlangs dwarsscheeps vinden.Deze verplaatsingen houden verband met de oprichting en de verdwijning van oceanen, (en dus van oceanische tectonische platen), aan de ontmoeting met andere continentale tectonische platen, (dragend opgedoken gronden en zeeplatforms). Vervolgens wordt Avalonia geïntegreerde in Pangée, prima enig werelddeel dat de aardrijkskunde van het Permienne en Triasique Tijdperk beheerst (250 miljoen jaren). De opening van de Atlantische oceaan brengt zeeterreinen bij ons terug, eerst in Lotharingen en in Gaume (aan de Jura van - 200 aan - 150 miljoen jaren), vervolgens het is de omloop van Vlaanderen en het noorden van Wallonië (aan Crétacé en gedurende de Tertiaire sector van - 150 tot 10 miljoen jaren).Tijdens zijn pérégrinations, kende Avalonia twee grote tectonische cycli: De cyclus Calédonien, is er 400 miljoen jaren, bij zijn ontmoeting met Baltica (de tectonische plaat die Duitsland, Polen en de Skandinavische landen draagt) en de cyclus Varisque, er is 300 miljoen jaren, bij zijn ontmoeting met Laurentia (Noord-Amerika en Groenland). Deze tectonische ongevallen creëerden eveneens hun partij van geologische verschijnselen die verbazen: Takelden de oprichting en de erosie van bergen, émersion en de onderdompeling van aarde, de oprichting opnieuw bekken sédimentation waar de rivieren het product van de erosie (Klei, zanden en grind) ontlastten, waar zeekliffen en weides vervolgens bloeiden, wijzigingen van de meetkunde van deze bekkens, plissements en fouten in de rots… af Deze ongevallen leggen de relatieve complexiteit van de geologie van België en de grote verschillen uit die tussen de verschillende bekkens waargenomen worden die zijn geschiedenis en zijn aardrijkskunde emailleren.Maar deze twee cycli waren eveneens „verantwoordelijk“ voor enkele fleurons van de Belgische kelderverdieping, bijvoorbeeld gaf Orogenèse Calédonienne geboorte aan volcanisme waarvan de bekendste sporen van Quenast en Bezuinigd het porfier en coti cule zijn die van de verandering van een neerslag van vulkanische stof in schistes rijk aan ijzer en manganèse afkomstig is. De druk die zich dan op de fijnste klei van Ardenne uitoefende gaf geboorte aan Phyllades waarvan men de leien uittrok. Wat orogenèse Varisque betreft, veroorzaakte zij het ontstaan van aarde aan de Steenkoolhoudende meerdere (- 300 miljoen jaren) die tot het verschijnen van een gelaatsuitdrukking van mangrove leidde waarvan het bedelven en de rijping geboorte aan de steenkool gaven.Zo'n reis van de zuidelijke pool naar de noordelijke pool, legt eveneens uit dat gedurende bijna 250 miljoen jaren, hetgeen ons land heeft gekend tropische of équoitoriaux klimaten, soms droog, soms vochtig zal worden. Deze lieten de ontwikkeling, op de Devoniane en Steenkoolhoudende platforms (- 390 aan - 10 miljoen jaren), van kliffen toe waarvan onze kelderverdieping enorgueillit (klein rood, grijs of zwart graniet, marmer enz) en vooral voor ons spéléologues, onze mooie kalkstenen. Helaas liep deze regeling van voordeel hij heeft er iets minder van 100 miljoen jaren af en sinds heeft men glaciations van Quaternaire en het klimaat aan de Belg… gekend
Bij uw ondergrondse verkenningen bent u u nooit stelt de vraag: deze rotsen die ons omgeven, vandaar komen zij? Antwoord; verreweg van zeer ver zelfs, de verklaring:De oudste bekende rotsen hebben in België zich in een oude zee van meer dan 500 miljoenen jaren tijdens de zogenaamde periode Cambrienne neergezet. A cette époque bevonden de terreinen zich die België gingen vormen in 60° zuidelijk en maakten deel van een kleine genoemde tectonische plaat Avalonia uit. Zij waren in rand van een enorm werelddeel, Gondwana, dat klem gezet aan de zuidelijke pool was. Dit werelddeel verzamelde Afrika, Zuid-Amerika, de Zuidpool en een groot deel van Azië.Vervolgens maakt Avalonia zich van Gondwana los en begint met een lange rondreis naar het noorden dat het naar zijn huidige positie zal brengen, is noordelijke 45°. Mijn van niets doet dat een traject van meer dan 20000 kilometers! En nog, kan men slechts de verplaatsingen en niet overlangs dwarsscheeps vinden.Deze verplaatsingen houden verband met de oprichting en de verdwijning van oceanen, (en dus van oceanische tectonische platen), aan de ontmoeting met andere continentale tectonische platen, (dragend opgedoken gronden en zeeplatforms). Vervolgens wordt Avalonia geïntegreerde in Pangée, prima enig werelddeel dat de aardrijkskunde van het Permienne en Triasique Tijdperk beheerst (250 miljoen jaren). De opening van de Atlantische oceaan brengt zeeterreinen bij ons terug, eerst in Lotharingen en in Gaume (aan de Jura van - 200 aan - 150 miljoen jaren), vervolgens het is de omloop van Vlaanderen en het noorden van Wallonië (aan Crétacé en gedurende de Tertiaire sector van - 150 tot 10 miljoen jaren).Tijdens zijn pérégrinations, kende Avalonia twee grote tectonische cycli: De cyclus Calédonien, is er 400 miljoen jaren, bij zijn ontmoeting met Baltica (de tectonische plaat die Duitsland, Polen en de Skandinavische landen draagt) en de cyclus Varisque, er is 300 miljoen jaren, bij zijn ontmoeting met Laurentia (Noord-Amerika en Groenland). Deze tectonische ongevallen creëerden eveneens hun partij van geologische verschijnselen die verbazen: Takelden de oprichting en de erosie van bergen, émersion en de onderdompeling van aarde, de oprichting opnieuw bekken sédimentation waar de rivieren het product van de erosie (Klei, zanden en grind) ontlastten, waar zeekliffen en weides vervolgens bloeiden, wijzigingen van de meetkunde van deze bekkens, plissements en fouten in de rots… af Deze ongevallen leggen de relatieve complexiteit van de geologie van België en de grote verschillen uit die tussen de verschillende bekkens waargenomen worden die zijn geschiedenis en zijn aardrijkskunde emailleren.Maar deze twee cycli waren eveneens „verantwoordelijk“ voor enkele fleurons van de Belgische kelderverdieping, bijvoorbeeld gaf Orogenèse Calédonienne geboorte aan volcanisme waarvan de bekendste sporen van Quenast en Bezuinigd het porfier en coti cule zijn die van de verandering van een neerslag van vulkanische stof in schistes rijk aan ijzer en manganèse afkomstig is. De druk die zich dan op de fijnste klei van Ardenne uitoefende gaf geboorte aan Phyllades waarvan men de leien uittrok. Wat orogenèse Varisque betreft, veroorzaakte zij het ontstaan van aarde aan de Steenkoolhoudende meerdere (- 300 miljoen jaren) die tot het verschijnen van een gelaatsuitdrukking van mangrove leidde waarvan het bedelven en de rijping geboorte aan de steenkool gaven.Zo'n reis van de zuidelijke pool naar de noordelijke pool, legt eveneens uit dat gedurende bijna 250 miljoen jaren, hetgeen ons land heeft gekend tropische of équoitoriaux klimaten, soms droog, soms vochtig zal worden. Deze lieten de ontwikkeling, op de Devoniane en Steenkoolhoudende platforms (- 390 aan - 10 miljoen jaren), van kliffen toe waarvan onze kelderverdieping enorgueillit (klein rood, grijs of zwart graniet, marmer enz) en vooral voor ons spéléologues, onze mooie kalkstenen. Helaas liep deze regeling van voordeel hij heeft er iets minder van 100 miljoen jaren af en sinds heeft men glaciations van Quaternaire en het klimaat aan de Belg… gekend
3 commentaires:
Test test
Génial sa fonctionne,anaoyme tu epus refaire ton message tu 14/02/2007.
Joël
besoin de verifier:)
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