mardi 9 octobre 2007

BERET BASQUE

Son surnom est Béret basque, son nom : Georges Delaire, c'est notre ancien président
Il revient de sa 18ème campagne de prospection à la Pierre st Martin, sa première campagne date de 1988, mais la PSM est un grand territoire ou même si une grande population de spéléos y foisonnent l’été, ils ne se bousculent pas et encore moins, se marchent sur les pieds ou se rampent sur les mains.
La zone adoptée par notre explorateur était déjà le théâtre des exploits de spéléos plongeurs belges qui l’ont entraîné en apnée dans la darse d’Anseremme pour les suivre dans leurs aventures souterraines, Castilloux et le Jean-Marie qui étaient a l’époque leurs grottes favorites, tous deux situé en forêt d’Issaux, la forme était encore avec eux a se moment là, quelques années leur ont suffi pour arriver au bout de leurs espérances dans ces deux cavités, qui font chacune un TPST de 10 à15 heure.


GOUR DE CASTILLOU


Vient ensuite l’envie des grands espaces et quoi de mieux qu'une immense forêt primaire, pour assouvir cette soif, étalée sur une dizaine d’année, ils ont prospectés des KM² de lapiaz semi-couvert. (Le tout en été quand les feuilles et les ronces sont en pleine forme, ils sont fous ces Belges).


PROSPECTION EN FORET


La moisson de découvertes atteignait les 300 mètres de puits cumulé par année, mais sans trouvaille majeure, la plus grande verticale trouvée fut un – 70 m constitué de deux puits de 35 mètres consécutifs, il est nommé « le nombril enflammé » en souvenir d’une vielle histoire qui a pour origine Castilloux.
Toutes les autres découvertes portent un numéro, pour leur identification.
Les années en 5 sont pour eux des années fastes, en 1995 une grosse découverte se réalisera dans un trou ou seul les plongeurs spéléos peuvent poursuivre le chemin, ils ont retrouvé la rivière qui se perd au fond du B3, mais pas de chance pour Béret Basque qui n’était ni présent ni plongeur a l’époque (il entamera sa formation en 1996).


ETABLISSEMENT DE COORDONEES D'UN TROU



En 2005 les spéléos locaux qui ne sont pas en reste, leur offrent sur un plateau d’argent une résurgence a plongé, l’un d’eux a eu la délicate attention de seulement mètre sont masque dans l’eau et ramener l’information que tout spéléo attend "ça continue", quelle phrase magique, vous ne pouvez savoir. Cette année la, une trentaine de mètres sont explorés mais arrêt sur étroiture forcée mais pas maîtrisée, a l’année prochaine ma vielle, mais c’est sans compter sur les plongeurs locaux qui en 2006 se sont fait un plaisir que de transformer l’endroit en boulevard, non cela reste une étroiture mais félicitations a eux, ils ont émerger quelques mètres plus loin pour laisser la place a leurs copains belges et en particulier a Béret Basque, qui entre temps a pris de la bouteille (de plongée), emmené pas les locaux, encore eux, il est de nouveau invité a prolonger la galerie qui sur 29 mètres joue au yo-yo avec la surface, pour se terminer en cul de sac, l'eau sort d'un conduit orienté a 90° sur la droite et qui plonge a 45° environ, lors de sa deuxième plongée de cette année la, il tenta de pénétrer cette galerie peu engageante, relativement large mais pas très haute pour un plongeur, des galets en suspension, se détachaient de toute par comme une avalanche, dans une situation inconnue notre explorateur avait aborder le passage les pieds les premiers, a la technique spéléo, mais dans ce chaos, il prit bien vite la direction de la sortie, au retour il ramena des photos de la galerie du fond et put en faire profiter les absents.
Un petit incident se produisit au retour et évidement dans la première étroiture, notre frogmam y perdit une palme et comme en bon plongeur-spéléo qui se respecte, elles sont attachées a la cheville par un élastique, dans un enduit aussi étroit l'objet en perdition n'a put faire autrement que de s'enrouler autour du fil d'Ariane, qu'on pose toujours pour retrouvé la sortie, quelque chose l'empêche d'avancer il faut quelque seconde pour réaliser de quoi il s'agit, et les contorsions commencent pour atteindre la palme, dans quels sens faut t'il tourner pour démêler ce nœud, et si on enlève l'élastique de la cheville, il se démonte tout seul, et là on se retrouve avec la palme le dévidoir de fil d'Ariane et l'appareil photo en main, en sachant qu'on garde toujours une main sur le fil, notre plongeur aurait souhaiter que un de ses ancêtre soit une pieuvre, il avouera plus tard que la rage lui est montée au ventre et pour terminer les trente derniers mètres il n'a pas pu garder son calme, ceci est une situation qui conduit a l'accident, mais heureusement sur le reste du parcours réalisé avec une seule palme, il n'y aura plus d'embûche, a l'arrivée a l'extérieur un petit film a été tourné et est très explicite de la situation (sans commentaire) voila pour l'historique, il me reste a vous compter la saga de cette année. A suivre…

3 commentaires:

Anonyme a dit…

un très chouette article j'espère qu'il y en aura d'autre.
Bravo George
Joël

Anonyme a dit…

Avec la photo de la prospection en pleine forêt sur un gros tronc, on dirait......... Georges de la .... Jungle!

Anonyme a dit…

très bien trouver comme idée de georges de la jungle.
Joël